Les forces du marché ne connaissent pas de répit dans la destruction du tissu social.
Après le drame de Caterpillar, voici l’effroi chez le personnel de la banque ING. C’est par milliers que les emplois deviennent la variable d’ajustement de multinationales qui préfèrent récompenser les actionnaires au mépris de ceux qui quotidiennement font la substance de leur entreprise.
Pendant ce temps, le gouvernement fédéral « Michel – De Wever » poursuit sa cure d’austérité en déployant une grande créativité dans la recherche du meilleur rabotage des politiques sociales ou des moyens de la justice.
Ils veulent un état si faible qu’il ne pourra plus remplir que des missions marginales. Un état dont l’impôt sera l’instrument de la fragmentation sociale.
Jean Pierre Hupkens